mardi, septembre 06, 2016

À visage découvert...

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J'ai résisté durant des lunes et des lunes à la page de blogue sur Facebook. À la vitrine de blogueuse...

Alors que tout le monde en créait une pour ci ou pour ça, je boudais entre deux arbres. Je méditais en coin de lac.

Avec deux comptes Facebook (un bureau et un salon), un Twitter, un Instagram, quelques comptes YouTube, un Pinterest, un Dailymotion, un Flickr, un Google Plus, un blogue de douleur chronique puis un groupe Facebook, je trouvais que cela suffisait. Combien de facettes numériques peut avoir une personne humaine?

Pas de magie en ses zones de confort!

Mais tout ça, c'est bien confortable. Comme l'on sait maintenant tous que sortir de sa zone de confort est vital à sa santé mentale, résister, c'est se tirer dans le pied. Ou plutôt dans le mental...

Par les temps qui courent, je me force à régulièrement sortir de mes zones de confort. Par souci d'ouverture d'esprit et d'aventures intérieures.

Comme l'on doit régulièrement sortir de ses zones de confort pour élargir les horizons humains ou numériques, voilà l'occasion parfaite de bien faire. Alors, je le fais!


Vu que ce concept me rend subtilement inconfortable, il me faut le faire. Que j'en ai envie ou non. La façon "facile" de sortir de ses zones de confort étant de faire ces choses qui nous rendent inconfortables. Tant qu'elles ont un sens...

Ainsi, j'explore cette nouvelle allée numérique, plus perplexe que convaincue. Mais qui vivra verra. Right?

Ou comme dit le dicton: Qui m'aime me suive là-bas...

Un j'aime égal-t-il à un signe de soutien moral? Vu mes cinq/deux dernières années rythmées d'ennuis de santé en tout genre, tout soutien est sincèrement apprécié.

Ou peut-être avez-vous simplement le goût de lire ces mots que je cultive par ici? En ce cas, n'hésitez pas à vous abonner à cette nouvelle page Etolanienne... 

D'évolution en mutation bloguesque

En cette renaissance de blogue antique qui se profile en mon horizon, en plus de décider d'ecrire parfois en anglais, Etolane y gagne sa vitrine "facebookienne".

Écrire en anglais. Quand ça me tente. Comme ça me tente. Écrire en français, comme ça me chante, selon mes goûts et mes humeurs. Sans aucune spécialisation puisque je ne supporte aucun cadre, aucune catégorie, aucune étiquette humaine...

J'ai ouvert ce blogue en avril 2003 et depuis ce temps, je reste fidèle à sa liberté d'être. Ainsi je l'aime. À sa base réside le besoin d'une discipline d'écriture. Puis est arrivée l'envie de partager, d'échanger, et de rencontrer.

À l'époque, personne ne pensait à son identité numérique et tout le monde avait un pseudo! Mon pseudo a d'ailleurs toute une histoire (anecdotique) que j'ai déjà conté des douzaine de fois.

En 2003, la réputation virtuelle était un concept de science-fiction.  Lorsque j'ai ouvert mon blogue, les caméras numériques arrivaient à peine dans le décor. YouTube, les téléphones intelligents et les tablettes n'existaient que dans Star-Trek.

En une déferlante vague technologique, les fameux réseaux sociaux ont débarqué et ont troublé, transformé puis commercialisé la blogosphère.


Depuis 2003, je regarde évoluer cette blogosphère infernale et je me dis que Buddha avait bien raison en faisant: "Dans la vie, la seule constante est le changement".

Depuis 2003, j'utilise ma vie comme laboratoire d'écriture. Je suis mon propre cobaye en coin de lac. Avec le temps, la mamamitude m'a emporté l'inspiration, puis les ennuis de santé me l'ont absorbée. Je travaille maintenant à retrouver un nouvel équilibre individuel.

Qui eu cru en 2003 que j'écrirai en 2016 (et illustrerai) un billet de blogue grâce à ce petit gadget qu'est le #LGG5 que j'utilise en ce moment. Ceci est un billet mobile!

Si je blogue encore dans dix ans, je me demande bien sur quel outil/patente, je transfèrerai mes pensées et réflexions pour en faire ici des phrases et des idées à partager...


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