dimanche, juillet 20, 2003

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Les pirates étaient sans doute les plus gros rebelles de l’ancien temps, hors la loi dans l’âme… Etait-ce la pire "caillera"? Pire que les corsaires et leurs pairs...

Hier on est allés voir « Pirates of the Caribbean », cela m’a divertit à souhait, Juan a rien compris des jokes, il faut dire que c’est de l’anglais de pirates! C’est drôle, le film commence avec la fascination d’une petite fille pour les histoires de pirates, c’est sûrement ce qui a ouvert la porte de mes souvenirs…

Cela m’a rappelé des fantasmes pubères oubliées au fond de ma mémoire, des nuits où je m’endormais en rêvant d’aventures, de bateaux corsaires, et d’amour pirates…

Après tout, j’ai eu ma première pulsion amoureuse avec Albator! Un pirate, c’est libre, ça vit de danger, et ça se fout de tout! J’avais oublié toutes ces histoires que je pouvais me raconter à la nuit tombée lorsque, au creux de mon lit, je laissais s'envoler mon imagination. J’étais prisonnière sur un bateau pirate et après un temps, je tombais amoureuse du capitaine, avec lui je voguais les mers, nous vivions alors une vie d’amour fou, d’îles en îles, de bateaux en bateaux, nous amassions les trésors…

Juan m’explique en un jeu de jambes comment ces films là font rejaillir en lui des envies de combats d’épées, « schling, schling, j’te dis je suis adroit comme garçon, j’aurais excellé à l’épée, sching! » Bien-sur mon chéri, c’est pour ça que tu es mon chevalier…

J’ai vieilli et les fantasmes de mauvais garçons, torturés, mystérieux et cruels à leur heure, ont été relégués au fond des tiroirs de ma vie et prennent la poussière du temps qui passent…

De nos jours, je veux un chevalier noble et fier avec l’honneur au cœur, l’allure virile et l’âme sensible. Un peu comme Juan quoi...

Enfin si Vanessa veut bien me prêter son Johnny, je lui prêterais peut-être mon Juan…

Oh! La pas fine...

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