vendredi, mai 23, 2003

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Le poids du jour

Lorsque la lourdeur du jour s’affaisse sur mes épaules engourdies, j’ai tout le corps qui flanche ! J’ai l’âme qui s’enflamme, l’être qui s’écaille…

Je rêve d’enfants nucléaires et de bombes solaires…
Je lis des vocables, j’entends le silence, je contemple les odeurs, je suffoque la vie.
Je me meurs encore une fois et renaît l’instant suivant, fraîche comme la rosée du matin, rose comme la douceur de tes mains…

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